Très tôt, Ra’anan Levy affiche l’obsession de capter les traces laissées par l’homme sur les objets du quotidien, nus, autoportraits, mains, paysages, natures mortes, lavabos, espaces vides, bouches d’égout, miroirs, ne servant de prétexte qu’à s’interroger sur la fugacité du temps ou la marque de l’humain. Ces thèmes, qu’il traite aussi bien aux pastel, crayon, peinture qu’en gravure, fonctionnent comme des vases communicants et des cercles concentriques, grâce auxquels augmente le degré de possession symbolique d’une réalité qui s’avère souvent fuyante.
Avec sa peinture aux couleurs pures et aux pigments vifs, quelque part entre Balthus, Hammershøi, Freud et Hopper, Ra’anan Levy présente une certaine continuité avec la grande tradition des peintres figuratifs, loin des débats formalistes et conceptuels du modernisme. Ses intérieurs déserts révèlent sa solitude et son regard sur le monde qui l’entoure. Seul avec lui-même, il tente de faire de chacun de ses tableaux un espace habitable. Car espace de création et espace de vie sont très intimement liés dans son œuvre, qu’il nourrit constamment de sa vision très subjective du monde qui l’entoure. Il observe les lieux et les êtres avec une acuité extrême. En ressort un œuvre très personnel et expressif, où chaque gravure, chaque papier, chaque toile est le résultat d’une aventure obsessionnelle marquée par un tel degré d’engagement et de passion que Ra’anan Levy finit par s’incarner lui-même dans sa peinture.
Œil
2022
Tempera sur toile
35.5 x 30.5 cm
Lavabo
2007
Tempera sur papier Arches
Tempera sur papier Arches
Mains
circa 2013-14
Aquarelle et tempera sur papier
37 x 25 cm
Intérieur
2014
Huile sur papier
23 x 30.7 cm
Éclat
2019
Tempera, encre de Chine et aquarelle sur papier
65.5 x 57 cm
Autoportrait
2010
Huile sur papier
31 x 22.5 cm
Long terme
2013
Fusain sur toile
198 x 168 cm
Angle glissant
2013
Huile et pastel sur toile
210 x 170 cm
Marteau sur l'oreiller II
2000
Pastel, crayon et fusain sur papier
80 x 110 cm
Veines
2011
Huile sur toile
170 x 160 cm
Aped quas parum qui beaquae preped eum volupitae odis re culpa volor autes nesciis am inus veliquibus. Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvelEt ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel
Aped quas parum qui beaquae preped eum volupitae odis re culpa volor autes nesciis am inus veliquibus. Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel
Une fois libéré de ses obligations militaires après le conflit de 1973, Ra’anan Levy quitte les siens pour partir étudier à l’Académie des Beaux-Arts de Rome. Puis il déménage à Florence pour suivre les cours prodigués dans l’ateli ...
Très tôt, Ra’anan Levy affiche l’obsession de capter les traces laissées par l’homme sur les objets du quotidien, nus, autoportraits, mains, paysages, natures mortes, lavabos, espaces vides, bouches d’égout, miroirs, ne servant de prétexte qu’à s’interroger sur la fugacité du temps ou la marque de l’humain. Ces thèmes, qu’il traite aussi bien aux pastel, crayon, peinture qu’en gravure, fonctionnent comme des vases communicants et des cercles concentriques, grâce auxquels augmente le degré de possession symbolique d’une réalité qui s’avère souvent fuyante.
Avec sa peinture aux couleurs pures et aux pigments vifs, quelque part entre Balthus, Hammershøi, Freud et Hopper, Ra’anan Levy présente une certaine continuité avec la grande tradition des peintres figuratifs, loin des débats formalistes et conceptuels du modernisme. Ses intérieurs déserts révèlent sa solitude et son regard sur le monde qui l’entoure. Seul avec lui-même, il tente de faire de chacun de ses tableaux un espace habitable. Car espace de création et espace de vie sont très intimement liés dans son œuvre, qu’il nourrit constamment de sa vision très subjective du monde qui l’entoure. Il observe les lieux et les êtres avec une acuité extrême. En ressort un œuvre très personnel et expressif, où chaque gravure, chaque papier, chaque toile est le résultat d’une aventure obsessionnelle marquée par un tel degré d’engagement et de passion que Ra’anan Levy finit par s’incarner lui-même dans sa peinture.
2022
Œil
2022
Tempera sur toile
35.5 x 30.5 cm
2007
Lavabo
2007
Tempera sur papier Arches
Tempera sur papier Arches
circa 2013-14
Mains
circa 2013-14
Aquarelle et tempera sur papier
37 x 25 cm
2014
Intérieur
2014
Huile sur papier
23 x 30.7 cm
2019
Éclat
2019
Tempera, encre de Chine et aquarelle sur papier
65.5 x 57 cm
2010
Autoportrait
2010
Huile sur papier
31 x 22.5 cm
2013
Long terme
2013
Fusain sur toile
198 x 168 cm
2013
Angle glissant
2013
Huile et pastel sur toile
210 x 170 cm
2000
Marteau sur l'oreiller II
2000
Pastel, crayon et fusain sur papier
80 x 110 cm
2011
Veines
2011
Huile sur toile
170 x 160 cm
Aped quas parum qui beaquae preped eum volupitae odis re culpa volor autes nesciis am inus veliquibus. Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvelEt ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel
Aped quas parum qui beaquae preped eum volupitae odis re culpa volor autes nesciis am inus veliquibus. Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel Rum fuga. Et ernam, que minvel
Une fois libéré de ses obligations militaires après le conflit de 1973, Ra’anan Levy quitte les siens pour partir étudier à l’Académie des Beaux-Arts de Rome. Puis il déménage à Florence pour suivre les cours prodigués dans l’atelier des frères Tovarelli. Il partira ensuite en direction de Paris ou il vivra jusqu’à son décès.
Très tôt, Ra’anan Levy affiche l’obsession de capter les traces laissées par l’homme sur les objets du...
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Galerie Dina Vierny
36 rue Jacob 75006 Paris
Ouvert du mardi au samedi de 10h à 19h
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