Toutes les expositions ici 

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SERGE POLIAKOFF, ACCOMPLISHED PEINTURE 2

Dina Vierny
La Fondation Maeght présente du 7 décembre 2019 au 8 mars 2020 « L’épreuve du miroir », exposition consacrée au monde pictural de Ra’anan Levy dont le commissaire Hervé Lancelin, à la fois proche de l’artiste et familier de sa création, rassemble une trentaine d’oeuvres et un ensemble de gravures qui seront mises en regard avec les collections de la Fondation Maeght.

L’artiste franco-israélien n’a cessé de traquer des portions de la réalité ordinaire, singulièrement choisies, affirmant son style tout en approfondissant ses thèmes de prédilection : configuration de l’espace, fuite du temps, absence des personnes, présence des objets, l’habité et l’inhabité, les jeux de perception visuelle et d’imagination transformant le quotidien en étrangeté.

Le principe que l’on peut détecter dans l’oeuvre de Ra’anan Levy et qui sert de fil conducteur à son travail est l’AMBIGUÏTÉ. D’un côté, les oeuvres qui représentent la plénitude jusqu’à la BOULIMIE comme les tables de travail et les ateliers pleins d’objets utiles ou négligeables, ou encore les tableaux qui représentent des bibliothèques dans lesquelles on peut se noyer sous des piles de livres jetés dans tous les sens. De l’autre côté, les sujets maigres voire ANOREXIQUES comme des pièces et des appartements vides, ou des fragments de miroirs. L’élément qui lie des sujets si opposés est simple : si l’on observe les pots de peinture sur les tables de travail, on aperçoit qu’ils sont toujours ouverts et qu’ils nous invitent à entrer, comme Alice entre au pays des merveilles dans un labyrinthe où elle trouve des pièces vides et des miroirs. Il y a toujours une ouverture qui invite les spectateurs à entrer.

Découvert par le public français lors de sa première rétrospective en France au Musée Maillol à la fin de l’année 2006, l’oeuvre de Ra’anan Levy rencontre un grand enthousiasme. Avec sa peinture aux couleurs pures et aux pigments vifs, quelque part entre Balthus, Freud et Hopper, Ra’anan Levy présente une certaine continuité avec la grande tradition des peintres figuratifs, loin des débats formalistes et conceptuels du modernisme.
	

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Découvert par le public français lors de sa première rétrospective en France au Musée Maillol à la fin de l’année 2006, l’oeuvre de Ra’anan Levy rencontre un grand enthousiasme.

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 La Fondation Maeght présente du 7 décembre 2019 au 8 mars 2020 « L’épreuve du miroir », exposition consacrée au monde pictural de Ra’anan Levy dont le commissaire Hervé Lancelin, à la fois proche de l’artiste et familier de sa création, rassemble une trentaine d’oeuvres et un ensemble de gravures qui seront mises en regard avec les collections de la Fondation Maeght.

L’artiste franco-israélien n’a cessé de traquer des portions de la réalité ordinaire, singulièrement choisies, affirmant son style tout en approfondissant ses thèmes de prédilection : configuration de l’espace, fuite du temps, absence des personnes, présence des objets, l’habité et l’inhabité, les jeux de perception visuelle et d’imagination transformant le quotidien en étrangeté.

Le principe que l’on peut détecter dans l’oeuvre de Ra’anan Levy et qui sert de fil conducteur à son travail est l’AMBIGUÏTÉ. D’un côté, les oeuvres qui représentent la plénitude jusqu’à la BOULIMIE comme les tables de travail et les ateliers pleins d’objets utiles ou négligeables, ou encore les tableaux qui représentent des bibliothèques dans lesquelles on peut se noyer sous des piles de livres jetés dans tous les sens. De l’autre côté, les sujets maigres voire ANOREXIQUES comme des pièces et des appartements vides, ou des fragments de miroirs. L’élément qui lie des sujets si opposés est simple : si l’on observe les pots de peinture sur les tables de travail, on aperçoit qu’ils sont toujours ouverts et qu’ils nous invitent à entrer, comme Alice entre au pays des merveilles dans un labyrinthe où elle trouve des pièces vides et des miroirs. Il y a toujours une ouverture qui invite les spectateurs à entrer.

Découvert par le public français lors de sa première rétrospective en France au Musée Maillol à la fin de l’année 2006, l’oeuvre de Ra’anan Levy rencontre un grand enthousiasme. Avec sa peinture aux couleurs pures et aux pigments vifs, quelque part entre Balthus, Freud et Hopper, Ra’anan Levy présente une certaine continuité avec la grande tradition des peintres figuratifs, loin des débats formalistes et conceptuels du modernisme.

 La Fondation Maeght présente du 7 décembre 2019 au 8 mars 2020 « L’épreuve du miroir », exposition consacrée au monde pictural de Ra’anan Levy dont le commissaire Hervé Lancelin, à la fois proche de l’artiste et familier de sa création, rassemble une trentaine d’oeuvres et un ensemble de gravures qui seront mises en regard avec les collections de la Fondation Maeght.

L’artiste franco-israélien n’a cessé de traquer des portions de la réalité ordinaire, singulièrement choisies, affirmant son style tout en approfondissant ses thèmes de prédilection : configuration de l’espace, fuite du temps, absence des personnes, présence des objets, l’habité et l’inhabité, les jeux de perception visuelle et d’imagination transformant le quotidien en étrangeté.

Le principe que l’on peut détecter dans l’oeuvre de Ra’anan Levy et qui sert de fil conducteur à son travail est l’AMBIGUÏTÉ. D’un côté, les oeuvres qui représentent la plénitude jusqu’à la BOULIMIE comme les tables de travail et les ateliers pleins d’objets utiles ou négligeables, ou encore les tableaux qui représentent des bibliothèques dans lesquelles on peut se noyer sous des piles de livres jetés dans tous les sens. De l’autre côté, les sujets maigres voire ANOREXIQUES comme des pièces et des appartements vides, ou des fragments de miroirs. L’élément qui lie des sujets si opposés est simple : si l’on observe les pots de peinture sur les tables de travail, on aperçoit qu’ils sont toujours ouverts et qu’ils nous invitent à entrer, comme Alice entre au pays des merveilles dans un labyrinthe où elle trouve des pièces vides et des miroirs. Il y a toujours une ouverture qui invite les spectateurs à entrer.

Découvert par le public français lors de sa première rétrospective en France au Musée Maillol à la fin de l’année 2006, l’oeuvre de Ra’anan Levy rencontre un grand enthousiasme. Avec sa peinture aux couleurs pures et aux pigments vifs, quelque part entre Balthus, Freud et Hopper, Ra’anan Levy présente une certaine continuité avec la grande tradition des peintres figuratifs, loin des débats formalistes et conceptuels du modernisme.

Dina Vierny

SERGE POLIAKOFF, ACCOMPLISHED PEINTURE 2

La Fondation Maeght présente du 7 décembre 2019 au 8 mars 2020 « L’épreuve du miroir », exposition consacrée au monde pictural de Ra’anan Levy dont le commissaire Hervé Lancelin, à la fois proche de l’artiste et familier de sa création, rassemble une trentaine d’oeuvres et un ensemble de gravures qui seront mises en regard avec les collections de la Fondation Maeght.

L’artiste franco-israélien n’a cessé de traquer des portions de la réalité ordinaire, singulièrement choisies, affirmant son style tout en approfondissant ses thèmes de prédilection : configuration de l’espace, fuite du temps, absence des personnes, présence des objets, l’habité et l’inhabité, les jeux de perception visuelle et d’imagination transformant le quotidien en étrangeté.

Le principe que l’on peut détecter dans l’oeuvre de Ra’anan Levy et qui sert de fil conducteur à son travail est l’AMBIGUÏTÉ. D’un côté, les oeuvres qui représentent la plénitude jusqu’à la BOULIMIE comme les tables de travail et les ateliers pleins d’objets utiles ou négligeables, ou encore les tableaux qui représentent des bibliothèques dans lesquelles on peut se noyer sous des piles de livres jetés dans tous les sens. De l’autre côté, les sujets maigres voire ANOREXIQUES comme des pièces et des appartements vides, ou des fragments de miroirs. L’élément qui lie des sujets si opposés est simple : si l’on observe les pots de peinture sur les tables de travail, on aperçoit qu’ils sont toujours ouverts et qu’ils nous invitent à entrer, comme Alice entre au pays des merveilles dans un labyrinthe où elle trouve des pièces vides et des miroirs. Il y a toujours une ouverture qui invite les spectateurs à entrer.

Découvert par le public français lors de sa première rétrospective en France au Musée Maillol à la fin de l’année 2006, l’oeuvre de Ra’anan Levy rencontre un grand enthousiasme. Avec sa peinture aux couleurs pures et aux pigments vifs, quelque part entre Balthus, Freud et Hopper, Ra’anan Levy présente une certaine continuité avec la grande tradition des peintres figuratifs, loin des débats formalistes et conceptuels du modernisme.
	

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Découvert par le public français lors de sa première rétrospective en France au Musée Maillol à la fin de l’année 2006, l’oeuvre de Ra’anan Levy rencontre un grand enthousiasme.

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 La Fondation Maeght présente du 7 décembre 2019 au 8 mars 2020 « L’épreuve du miroir », exposition consacrée au monde pictural de Ra’anan Levy dont le commissaire Hervé Lancelin, à la fois proche de l’artiste et familier de sa création, rassemble une trentaine d’oeuvres et un ensemble de gravures qui seront mises en regard avec les collections de la Fondation Maeght.

L’artiste franco-israélien n’a cessé de traquer des portions de la réalité ordinaire, singulièrement choisies, affirmant son style tout en approfondissant ses thèmes de prédilection : configuration de l’espace, fuite du temps, absence des personnes, présence des objets, l’habité et l’inhabité, les jeux de perception visuelle et d’imagination transformant le quotidien en étrangeté.

Le principe que l’on peut détecter dans l’oeuvre de Ra’anan Levy et qui sert de fil conducteur à son travail est l’AMBIGUÏTÉ. D’un côté, les oeuvres qui représentent la plénitude jusqu’à la BOULIMIE comme les tables de travail et les ateliers pleins d’objets utiles ou négligeables, ou encore les tableaux qui représentent des bibliothèques dans lesquelles on peut se noyer sous des piles de livres jetés dans tous les sens. De l’autre côté, les sujets maigres voire ANOREXIQUES comme des pièces et des appartements vides, ou des fragments de miroirs. L’élément qui lie des sujets si opposés est simple : si l’on observe les pots de peinture sur les tables de travail, on aperçoit qu’ils sont toujours ouverts et qu’ils nous invitent à entrer, comme Alice entre au pays des merveilles dans un labyrinthe où elle trouve des pièces vides et des miroirs. Il y a toujours une ouverture qui invite les spectateurs à entrer.

Découvert par le public français lors de sa première rétrospective en France au Musée Maillol à la fin de l’année 2006, l’oeuvre de Ra’anan Levy rencontre un grand enthousiasme. Avec sa peinture aux couleurs pures et aux pigments vifs, quelque part entre Balthus, Freud et Hopper, Ra’anan Levy présente une certaine continuité avec la grande tradition des peintres figuratifs, loin des débats formalistes et conceptuels du modernisme.

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