Nous retrouvons les Primitifs modernes tels que Henri Rousseau, Camille Bombois et Séraphine Louis, pour une exposition autour du Réalisme naïf au Musée More à Gorssel.23 février 2023
Nous retrouvons les Primitifs modernes tels que Henri Rousseau, Camille Bombois et Séraphine Louis, pour une exposition autour du Réalisme naïf au Musée More à Gorssel. Inspiré par l’exposition Masters of Popular Painting du Museum of Modern Art de New York en 1938, le Musée More souhaite de nouveau mettre en lumière le travail de ces peintres autodidactes. L’art naïf naît dans les années 1920. Ces amateurs, sans aucune formation artistique, commencent à peindre en dehors de leurs activités professionnelles. Souvent nommés « Peintres du dimanche », ces artistes affectionnent les scènes quotidiennes, les natures mortes, les portraits ou bien les scènes imaginaires. La perspective maladroite et les couleurs bigarrées apportent un nouveau souffle à la peinture moderne. Ils séduisent ainsi les marchands et critiques d’art tels Anatole Jakovsky et Wilhelm Uhde, qui deviennent les fervents défenseurs de ces primitifs modernes.
Dominique Peyronnet, "Après la baignade", 1931
John Kane, "Vallée du ruisseau de la tortue", nr.1, circa 1932-34
Séraphine Louis, "Le bouquet de feuilles", 1930, huile sur panneau de bois
Nous retrouvons les Primitifs modernes tels que Henri Rousseau, Camille Bombois et Séraphine Louis, pour une exposition autour du Réalisme naïf au Musée More à Gorssel.
Nous retrouvons les Primitifs modernes tels que Henri Rousseau, Camille Bombois et Séraphine Louis, pour une exposition autour du Réalisme naïf au Musée More à Gorssel. Inspiré par l’exposition Masters of Popular Painting du Museum of Modern Art de New York en 1938, le Musée More souhaite de nouveau mettre en lumière le travail de ces peintres autodidactes. L’art naïf naît dans les années 1920. Ces amateurs, sans aucune formation artistique, commencent à peindre en dehors de leurs activités professionnelles. Souvent nommés « Peintres du dimanche », ces artistes affectionnent les scènes quotidiennes, les natures mortes, les portraits ou bien les scènes imaginaires. La perspective maladroite et les couleurs bigarrées apportent un nouveau souffle à la peinture moderne. Ils séduisent ainsi les marchands et critiques d’art tels Anatole Jakovsky et Wilhelm Uhde, qui deviennent les fervents défenseurs de ces primitifs modernes.
Dominique Peyronnet, "Après la baignade", 1931
John Kane, "Vallée du ruisseau de la tortue", nr.1, circa 1932-34
Séraphine Louis, "Le bouquet de feuilles", 1930, huile sur panneau de bois
Galerie Dina Vierny
36 rue Jacob 75006 Paris
Ouvert du mardi au samedi de 10h à 19h
Galerie Dina Vierny
36 rue Jacob 75006 Paris
Ouvert du mardi au samedi
de 10h à 19h